Une peinture...
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Re: Une peinture...
Non, je ne connais pas. Tu vas nous en parler ! C'est une bonne idée cette rubrique !
Nhkln- Membre
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Re: Une peinture...
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"Le Sommeil, aussi intitulé Les Deux Amies et Paresse et Luxure, est un tableau peint par Gustave Courbet. Cette œuvre représentant deux femmes se reposant a été réalisée en 1866 et est maintenant conservée au Petit Palais de Paris.
Provenance
Commande du diplomate ottoman Khalil-Bey à Courbet, le tableau est vendu avec l'Origine du monde en 1866. En 1868 à la suite de la vente de la collection Khalil-Bey, l'œuvre devient jusqu'en 1882, la propriété de Jean-Baptiste Faure chanteur d'opéra et amateur d'art, qui possédait aussi le Déjeuner sur l'herbe d'Édouard Manet. Après 1882, le tableau passe en possession d'Auguste Reverdin chirurgien suisse, qui l'a acquis par l'intermédiaire de Léon Massol. En 1953 il entre dans les collections du Petit Palais après acquisition à la galerie Paul Valloton (ancienne galerie Bernheim-Jeune).
Description
La composition de la scène s'inscrit dans un format rectangulaire horizontal. Le tableau montre deux femmes nues endormies, entrelacées sur un lit défait. À droite une femme aux cheveux bruns dans une position de torsion, couchée sur le dos, les deux jambes de profil, à gauche une femme blonde, tournée vers la femme brune. La femme blonde maintient sur sa hanche la jambe droite de la femme brune. Plusieurs détails font allusion à un repos après une relation charnelle. On aperçoit sur le lit des parures (épingle à cheveux, colliers de perle) abandonnées sur le drap, et le détail d'une robe près de la main droite de la femme brune. Le fond montre un rideau bleu, à droite, un vase avec des fleurs est posé sur une console, à gauche un verre, un pichet et un vase de cristal, sont disposés sur une sorte de table de style oriental. Le tableau est signé G. Courbet .66 en bas à droite."
"Le Sommeil, aussi intitulé Les Deux Amies et Paresse et Luxure, est un tableau peint par Gustave Courbet. Cette œuvre représentant deux femmes se reposant a été réalisée en 1866 et est maintenant conservée au Petit Palais de Paris.
Provenance
Commande du diplomate ottoman Khalil-Bey à Courbet, le tableau est vendu avec l'Origine du monde en 1866. En 1868 à la suite de la vente de la collection Khalil-Bey, l'œuvre devient jusqu'en 1882, la propriété de Jean-Baptiste Faure chanteur d'opéra et amateur d'art, qui possédait aussi le Déjeuner sur l'herbe d'Édouard Manet. Après 1882, le tableau passe en possession d'Auguste Reverdin chirurgien suisse, qui l'a acquis par l'intermédiaire de Léon Massol. En 1953 il entre dans les collections du Petit Palais après acquisition à la galerie Paul Valloton (ancienne galerie Bernheim-Jeune).
Description
La composition de la scène s'inscrit dans un format rectangulaire horizontal. Le tableau montre deux femmes nues endormies, entrelacées sur un lit défait. À droite une femme aux cheveux bruns dans une position de torsion, couchée sur le dos, les deux jambes de profil, à gauche une femme blonde, tournée vers la femme brune. La femme blonde maintient sur sa hanche la jambe droite de la femme brune. Plusieurs détails font allusion à un repos après une relation charnelle. On aperçoit sur le lit des parures (épingle à cheveux, colliers de perle) abandonnées sur le drap, et le détail d'une robe près de la main droite de la femme brune. Le fond montre un rideau bleu, à droite, un vase avec des fleurs est posé sur une console, à gauche un verre, un pichet et un vase de cristal, sont disposés sur une sorte de table de style oriental. Le tableau est signé G. Courbet .66 en bas à droite."
gigue- Messages : 673
Date d'inscription : 14/05/2011
Nhkln- Membre
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Date d'inscription : 09/01/2011
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Re: Une peinture...
Van Gogh, je ne me souviens plus le titre...
Titi- Messages : 278
Date d'inscription : 03/04/2016
Re: Une peinture...
C'est "Nuit étoilée sur le Rhône" , et je vais faire comme Gigue vais copier coller une petite note explicative :
A propos de ce tableau, peint à Arles en 1888, Van Gogh écrit à son frère Théo : » Le ciel est bleu-vert, l’eau est bleu de roi, les terrains sont mauves. La ville est bleue et violette, le gaz est jaune et des reflets or roux descendent jusqu’au bronze vert. Sur le champ vert du ciel, la Grande Ourse a un scintillement vert et rose dont la pâleur discrète contraste avec l’or brutal du gaz. Deux figurines colorées d’amoureux à l’avant-plan. « . Ce paysage nocturne le fascine, bien plus que son premier essai du café de la place du Forum, sans doute parce-que cette fois ci, le ciel y tient une place primordiale. Auréolé d’étoiles aux lumières douces, le ciel en effet se place dans une symétrie parfaite en opposition avec les eaux du Rhône, parcourues des lumières électriques de la ville. Illustration d’une rêverie de l’artiste ? Vision poétique et quelque peu hallucinatoire ? On fait en tout cas de cette première « nuit étoilée » de l’artiste une vision apaisée de ce ciel nocturne, trouvant dans la représentation au premier plan d’un couple d’amoureux une fonction de contemplation. Le ciel de la « Nuit étoilée du Rhône » serait donc avant tout un paysage de contemplation, un endroit où lumières de ville et étoiles se rejoignent dans une confrontation idéale de beauté. On oppose ainsi souvent cette toile, à la seconde peinte en 1889 : « La nuit étoilée ».
Source : https://impressionnismeetvoyage.wordpress.com/2015/04/06/van-gogh-et-la-serie-des-nuits-etoilees-vision-dangereuse-ou-merveilleuse/
A propos de ce tableau, peint à Arles en 1888, Van Gogh écrit à son frère Théo : » Le ciel est bleu-vert, l’eau est bleu de roi, les terrains sont mauves. La ville est bleue et violette, le gaz est jaune et des reflets or roux descendent jusqu’au bronze vert. Sur le champ vert du ciel, la Grande Ourse a un scintillement vert et rose dont la pâleur discrète contraste avec l’or brutal du gaz. Deux figurines colorées d’amoureux à l’avant-plan. « . Ce paysage nocturne le fascine, bien plus que son premier essai du café de la place du Forum, sans doute parce-que cette fois ci, le ciel y tient une place primordiale. Auréolé d’étoiles aux lumières douces, le ciel en effet se place dans une symétrie parfaite en opposition avec les eaux du Rhône, parcourues des lumières électriques de la ville. Illustration d’une rêverie de l’artiste ? Vision poétique et quelque peu hallucinatoire ? On fait en tout cas de cette première « nuit étoilée » de l’artiste une vision apaisée de ce ciel nocturne, trouvant dans la représentation au premier plan d’un couple d’amoureux une fonction de contemplation. Le ciel de la « Nuit étoilée du Rhône » serait donc avant tout un paysage de contemplation, un endroit où lumières de ville et étoiles se rejoignent dans une confrontation idéale de beauté. On oppose ainsi souvent cette toile, à la seconde peinte en 1889 : « La nuit étoilée ».
Source : https://impressionnismeetvoyage.wordpress.com/2015/04/06/van-gogh-et-la-serie-des-nuits-etoilees-vision-dangereuse-ou-merveilleuse/
Nhkln- Membre
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