Quête

Si j’ai survécu jusqu’à présent c’est parce que j’ai la rage. Un feu m’habite depuis mon enfance, le feu de la survie. J’ai dû sans cesse me battre, d’abord contre lui. Mais comme les dégâts étaient importants, j’ai dû me battre contre moi. J’ai acquis cette capacité à l’autodestruction. Le secret de l’autodestruction c’est détruire pour se détruire. Je ne souhaite jamais me résigner à cela, donc je continue à essayer d’être meilleure, je ne supporte pas la souffrance, tout de suite quand je la ressens cela réactive ce vieux réflexe. Je suis dans le contrôle permanent de mes émotions, je sais qu’il faut que je les apprivoise car je suis incapable de les gérer. J’y travaille de toutes mes forces. Il y a des choses encore que je ne peux pas comprendre, il y a des fossés que je ne peux pas traverser et j’en suis sincèrement désolée. Je préfère que l’on me lâche, que l’on se tourne petit à petit vers l’indifférence. Je n’ai qu’une seule vraie aspiration et j’espère de tout mon être y parvenir un jour. Mais pour cela je dois changer mon schéma de fonctionnement, arrêter d’aller vers des situations qui ne me conviennent pas, arrêter de blesser et de me blesser. Apprendre le courage et la dignité.

programme de toute une vie ! bienvenue au club… je suis preneuse des tuyaux pour marcher vers ça ! très sérieux.

On en discute quand vous voulez !

Le bonheur est quelque chose de particulier car il ne peut provenir complètement de l'extérieur, il est en nous. Le bonheur, le vrai a besoin de cohérence. Aujourd'hui j'ai plus ou moins trouvé cette cohérence, quand je parle de cohérence, je parle de moi, de ce que je suis, de mes désirs les plus profonds. Le hasard parfois vous aide un peu. Ce qu'il y a d'étrange avec le hasard c'est que parfois vous vivez quelque chose que vous ne pensiez pas exister. Disons que la réalité peut être plus belle encore que ce que vous auriez pu imaginer.
Maintenant j'attends impatiemment "Noël", car mon bonheur est bien là, il crie de vouloir vivre pleinement, il crie de pouvoir exploser, il n'en peut plus de se retenir, il n'en peut plus de cette frustration, il veut être entier. Il veut être auprès de son origine, auprès de sa gamme musicale.

Et merde j"avais écrit tout un laïus sous l'effet de l'alcool mais mauvaise manip je suis revenue à la page principale. Vais pas recommencer. Bref je disais en résumé qu'il ne fallait pas prendre la vie au sérieux, que je n'avais aucune confiance en la nature humaine. Que je voulais juste pouvoir dire ce que je pensais sans crainte de l'autre. Que j'adorais les points d'éternité, ni passé, ni projection dans le futur, que j'étais certainement inadaptée à ce monde. Que ce soir je dis certainement de la merde et que je m'en fous car cela fait partie de moi.
Je souhaite que la vie cesse d'être un combat.

Aujourd'hui est un jour particulier. J'ai une boule dans le ventre. Cela va marquer le glas de la fin de quelque chose. J'ai toujours de la culpabilité en moi. Avoir fait énormément de mal, je n'ai rien su gérer. Je ne pourrai pas effacer tout ça, mais huit mois après je suis fière de ce que j'ai pu accomplir depuis. Je suis loin d'avoir fini le chemin mais j'apprends tout les jours le courage, un peu plus de dignité et surtout qui je suis et ce que je souhaite.
Si tu lis ça un jour, je veux que tu saches que j'ai encore énormément de tendresse pour toi et qu'elle ne me quittera jamais. Même si je n'ai pas été à la hauteur, je n'oublierai pas nos six ans, j'en garderai un joli souvenir.

Si un jour tu as besoin de moi, je serai là.

Lundi qui arrive sera mon premier janvier à moi et donc des résolutions :
1. Reprendre le boulot : l'inactivité me fait trop gamberger.
2. Faire encore plus de sport pour pallier à ma connerie
3. Accepter mes incapacités, continuer à travailler à gérer mes émotions et faire ce chemin seule.
4. La laisser respirer et faire son propre chemin en espérant que l'on puisse arriver avec le temps à devenir amies.
5. Me consacrer à un projet qui me tient vraiment à coeur.
6. Et surtout ne plus me conduire comme une gamine décérébrée, c'est d'ailleurs pour cela que ce sera mon dernier message un peu personnel sur ce forum.

Désormais j’ai décidé d’aborder mes petites questions existentielles (égocentrées) de façon humoristique car comme disait je ne sais pas qui : « je me presse de rire de tout, de peur d’être obligé d’en pleurer ». Qui, petit aparté, n’est pas si con que ça au fond. Ces derniers mois j’ai vraiment perdu mon sens de l’humour, mais je ne peux m’en prendre qu’à moi-même, j’ai le sentiment que j’en retrouve un peu ainsi qu’une certaine sérénité. Sans aucune transition il y a des personnes qui ont besoin d’un autre être pour cesser une relation et d’autres qui ont besoin de se jeter après une relation douloureuse dans une nouvelle histoire pour passer à autre chose (évidemment je n’aborde pas les gens « normalement » constitués, bref il n’existe pas que ces deux catégories et fort heureusement). Et bien j’ai fait partie des deux catégories, et oui !, je suis un être faible et lâche avec certainement un petit problème « je préfère minimiser » pathologique (peur d’être seule, ou de l’abandon ou je ne sais quoi). Mais attention aujourd’hui victoire ! Je n’ai pas cédé à mon vice. Il y a quelques temps de ça, je me serais jetée tête baissée dans un truc sans avenir juste pour me faire croire que. J'ai été capable de dire non.
Donc j’en conclue que je suis sur la bonne voie (auto satisfaction, qui le fera sinon ?), mais là où cela se corse parce que il faut bien que je dise quand même des conneries, c’est que j’ai décidé d’arrêter définitivement les femmes (sauf si un jour la fille idéale se pointe et sonne chez moi en me disant je suis la femme de ta vie, ok je ferai un écart mais seulement à cette condition ). Je crois que ce qu’il me fait le plus peur au fond c’est d’être face à moi-même. Pas évident d’apprendre à s’apprivoiser et à s'apprécier. J’ai un autre souci, ce sont pour mes vieux jours, c’est pour cela que j’ai une proposition à vous faire, une sorte de maison de retraite lesbienne communautaire (au lieu "des jardins de jouvence", qui en plus est du vrai foutage de gueule, je proposerais les jardins de Toolez). Moi la vieillesse me terrorise, j’ai pas envie de finir dans un endroit où les gens qui s’occupent de vous pensent que vous avez toujours été vieux et vous parlent comme à des décérébrés.

« je me presse de rire de tout, de peur d’être obligé d’en pleurer »= Beaumarchais
"évidemment je n’aborde pas les gens « normalement » constitués" Que faut-il entendre par normalement constitués ??
" je suis sur la bonne voie" Attention les chemins de traverse existent, surtout pour les randonneuses...
" j’ai décidé d’arrêter définitivement les femmes" Avez vous bu ? Cela ressemble tellement à un serment d'ivrogne
" j’ai une proposition à vous faire, une sorte de maison de retraite lesbienne communautaire" Vraiment ?
" Moi la vieillesse me terrorise, j’ai pas envie de finir dans un endroit où les gens qui s’occupent de vous pensent que vous avez toujours été vieux et vous parlent comme à des décérébrés" Pour échapper à cela, il existe une seule solution efficace et radicale.

Nh, vous allez vous intéresser aux hommes ? attention je ne dis pas qu'ils ne sont pas intéressants, mais bon... remettons nous dans notre contexte...

Ah ah ah ! Arrêter les femmes ! Moi aussi, je suis capable de dire ce genre de choses ; les hommes sont plus simples paraît-il (je ne sais, je n'ai pas testé), mais... et ... et ..., bref, etc...
Serment d'ivrogne, oui !
Ne vous inquiétez pas Titi !
(Et toutes les considérations philosophiques des lesbiennes peuvent être exprimées ici, même celles-là, n'est-ce pas ?)

Quant au camp de vacances pour retraitées lesbiennes, il semblerait qu'un projet de maison pour gays et lesbiennes voie le jour, du côté de Narbonne ou Béziers. Tu peux peut être déjà y réserver une place, Nhkln ?

Jersey, épargne-nous ces sombres pensées, s'il te plaît.

Rions, rions plutôt ! Nhkln, il faut le cultiver, ce sens de l'humour !
Et puisque tu es sur la bonne voie, continue !

Les serments d'ivrogne sont ma spécialité, à jeun qui plus est . En ce qui concerne les hommes Titi, même avec la meilleure volonté du monde, c'est inenvisageable ! Ils y sont pour rien hein !
Jersey, quand je parle de gens "normaux" je parle de ceux qui ont une maturité émotionnelle, pas comme moi. En ce qui concerne l'éventualité du suicide, il faudra que je sois vraiment grabataire .
Gigue, merci pour tes plans !, et oui effectivement "pressons nous de rire".

J'ai décidé de faire comme Robinson (enfin lui il était plus dans la merde que moi ), je ferai une croix à chaque mois passé sans fille dans ma vie , et vous verrez que mon serment n'était pas si alcoolisé que ça .

1/ "jersey épargne nous ces sombres pensées s'il te plaît" (Gigue)
C'est toi qui les trouve sombres !
- Qu'y a t-il de sombre à vouloir exercer sa liberté, préserver sa dignité ?
- Qu'y a t-il de sombre à refuser le nursing ?
- Qu'y a t-il de sombre à considérer la vie dans son entier déroulement ?
- Qu'y a t-il de sombre à refuser l'insupportable douleur ?
Après ces anaphores (en ce moment, le Président m'inspire) j'ajoute:
ne voir aucun prosélytisme dans ma réponse

2/" En ce qui concerne l'éventualité du suicide, il faudra que je sois vraiment grabataire"
En effet il est peut-être urgent d'attendre et inutile de l'envisager quand tout va (presque) bien

Jersey, si ma religion interdit le suicide, ce n'est pas par hasard. Je comprends tout à fait certaines angoisses que je pourrais partager si je n'avais d'autres préoccupations plus immédiates. Le problème posé par l'euthanasie, c'est qu'elle ouvre une porte, dans un context dont l'appréciation est nécessairement subjective (d'où la recherche de critères objectifs pour celles et ceux qui l'envisagent). Tu fournis toi-même l'argument majeur contre le suicide : "refuser l'insupportable douleur". Ne sommes-nous pas toutes confrontées, à un moment ou un autre de nos vies, à une insupportable douleur ? Peut-être pas toutes. Mais sûrement nombreuses. Et cela s'illustre notamment par le suicide de jeunes personnes. Ainsi une amie de ma fille qui s'est pendue à cause d'un chagrin amoureux. À 25 ans. Insupportable douleur.
Alors non, ce n'est pas seulement par conviction religieuse, et d'ailleurs, la messe prend parfois l'allure de cours de philosophie pratique (hier, la notion d'orgueil, comparée avec la fierté, la nécessaire humilité, qui ne signifie pas humiliation...) justement parce que la religion n'a de sens que si elle est liée à nos vies et aborde nos problèmes quotidiens (et sans contrainte ajouté-je en pensant à un autre débat...), c'est aussi par la conviction, et l'expérience, que nous avons toutes à affronter un jour ou l'autre d'insupportables douleurs, que nous sommes capables de passer au travers, que nous devons nous en rendre capables, parce qu'au final, malgré tout, la vie est belle. (Et là je vous en épargne les illustrations !)

Courte réponse:
- l'euthanasie est une chose; le suicide en est une autre !
- le degré de supportable/insupportable douleur est effectivement personnel (les 1s supportent, les autres pas ...)
- c'est donc pour cela que c'est un acte strictement individuel qui ne peut relever de critères objectifs
- " la religion n'a de sens que si elle est liée à nos vies" --> LES religions sont intrinsèquement liées à LA vie: sans vie, sans monde , pas de religionS. Pour exister elles doivent être au monde pour en dire des parties.

Le débat est lancé !!!

C'est bien de pouvoir échanger en toute quiétude. En ce qui me concerne la religion n'entre pas en compte même si j'ai eu une éducation judéo-chrétienne. Donc effectivement pour ma part il y a cette distinction à faire entre l’euthanasie et le suicide, en ce qui concerne l'euthanasie je suis pour dans un cadre évidemment règlementé, la souffrance n'est pas obligatoire à mon sens, il y a des fins de vie absolument atroces pour les malades et les familles, de plus je crois profondément au droit de mourir dans la dignité. En ce qui concerne le suicide, malheureusement, quand quelqu’un passe à l'acte, il est toujours difficile de comprendre mais faut savoir que cette personne est dans un état second et ne voit pas les choses avec rationalité, c'est d'ailleurs très culpabilisant pour l'entourage car très peu de signe sont apparents, et évidemment c'est terrible.
Maintenant pour faire un peu la médiatrice , je pense que Jersey abordait ce thème dans le contexte de la discussion avec humour.

Bref ce qui est formidable c'est justement pouvoir échanger avec des convictions et opinions différentes.

C'est gentil, Nhkln, de faire la médiatrice, mais je ne pense pas que cela soit nécessaire. Le débat est sérieux, pour autant, il n'est pas tendu.

Wikipédia :
"L'expression « aide au suicide » (ou « suicide assisté ») désigne l'acte de fournir un environnement et des moyens nécessaires à une personne pour qu'elle se suicide.
L'aide au suicide est différent de l'euthanasie. C'est le « patient » lui-même qui déclenche sa mort et non un tiers.
Il convient de distinguer, suivant les motivations et le cadre dans lequel ils se déroulent, « l'aide au suicide simple » du « suicide médicalement assisté ». Ce dernier a pour but d'aider des patients à mettre eux-mêmes un terme à leur vie à cause de souffrances jugées intolérables.
Le terme de suicide possédant une connotation fortement péjorative, il est fréquent que d'autres termes soient employés tels que : « aide à mourir », « aide à la fin de vie », « mourir dans la dignité », etc.
Un petit nombre de pays ont légalisé certaines formes d'aide au suicide, dans un cadre médicalisé et réglementé."

D'accord pour la différence suicide/euthanasie, la nuance est : qui déclenche. Ma question est : ça change quoi sur le fond ?

Précédemment, je n'ai pas achevé ma réponse, quant au prosélytisme, c'est à venir. Mais retenons du texte de wikipedia le caractère "péjoratif" du terme suicide.

Concernant la religion, je pensais à sa pratique, et je vais préciser mon idée : caricaturalement, il existe deux types de curés, ceux qui paraphrasent les textes du jour, et ceux qui mènent une réflexion visant à concerner l'audience. Dans le premier cas, la liturgie tourne en rond, à vide, si je puis dire ; dans une forme d'auto complaisance, elle n'apporte rien. Dans le second cas, elle touche son audience et amène à réfléchir, elle confère à la croyance une valeur morale concrète, qui, fort heureusement, va bien au-delà d'une opposition bien / mal. Une question que je me pose d'ailleurs à ce sujet, c'est, tous les fidèles en profitent-ils ? Car il faut pouvoir suivre une homélie longue, développée, structurée ; c'est comme un cours de fac en amphi !
Donc, dans mon sens, ce que j'ai appelé "le lien à la vie" n'est pas automatique, et va dépendre d'une qualité de pratique et d'usage des textes fondateurs.

Nhkln, ne va t-il pas falloir ouvrir une nouvelle rubrique, pour y placer un tableau noir où tu pourras aligner tes croix ?

Je ferai un décompte au fur à mesure .

Merci oui effectivement je suis allée un peu vite ce matin mais bon je suis quand même censée être au boulot et travailler , oui effectivement il y a une différence entre l'euthanasie et l'aide au suicide. Pour répondre à ta question pour ma part il y a une vraie différence entre le suicide et l'aide au suicide. Le contexte est différent et je pense que la volonté de mourir est différente mais ce n'est que mon avis : tu sais que tu vas crever dans d'horrible souffrance, tu décides de mourir avant de t'imposer cette déchéance à toi mais aussi à tes proches mais je pense que t'as pas du tout envie de mourir. En ce qui concerne le suicide, il est liée à d'autres facteurs : exogènes et endogènes.

Je ne sais pas si j'ai vraiment été claire dans l'avis que j'ai exprimé...

Ah ah ! Drôle de manière de travailler effectivement ! C'est du propre !

Tu as été claire et convaincante, Nhkln !

C'était ma pause Toolez Moins calorique !

Réponses aux posts -6 & -5.
Post -6 : merci NHK pour cette offre de médiation. Même si le débat n'est pas tendu, la position de Gigue et la mienne sont inconciliables.
Post -5:
"Ma question est ça change quoi sur le fond?"
Pour moi euthanasie = destin passif (même si par la force des choses), soulagement pour la société
            suicide = destin actif (voulu - même si NHK évoque justement un état second-, préparé), soulagement pour soi
"Le lien à la vie n'est pas automatique et va dépendre d'une qualité de pratique et d'usage des textes fondateurs". .
La citation est courte mais je ne pense pas déformer  le propos par ma réponse.
Cette perspective conduit à opposer la religion "opium du peuple" à la religion des Lumières. Faut-il se résoudre à cela ?
Je pense que tous y trouvent leur direction à leur mesure.

Avec un peu de tremblement je mets mon grain de sel à ce débat que je trouve... un peu académique et qui me mets un peu mal à l'aise... pourquoi ? j'ai un peu le sentiment que c'est un discours de bien portantes que nous tenons... tant mieux...
Qui parmi nous fréquente effectivement la mort... et les mourants et les morts ?
Gigue, je partage votre foi, je suis catholique pratiquante mais votre propos me "gêne" un peu. Notre religion interdit le suicide certes mais notre Dieu qu'en pense-t-il ?… non que je vous demande de pénétrer les profondeurs de Dieu comme dit St Paul si je ne m'abuse mais, n'oublions pas trop vite la question de Jésus : pour vous qui suis-je ? et si c'est sûrement très bien de dire que la religion interdit il me parait encore mieux que devant Dieu avec le moyen de la lectio et de la prière, on se fasse une idée personnelle, enfin, je pense au risque de vous choquer, et avec St Thomas (d'Aquin) qu'en dernier recours c'est vous et vous seule qui décidez.
Il y a un papier qui s'appelle 'les directives anticipées" je ne vous cache pas que j'ai un peu planché sur la question sans arriver à me résoudre d'y répondre...
SVP que personne ne croit que je me met au dessus par ces questions ni que je veux plomber le débat... toutes vos positions m'intéressent et me nourrissent.

Tremblement ? Faut pas .

Oui effectivement tant que le contexte n'est pas vécu, nous ne pouvons savoir quelle pourrait être notre décision et c'est toujours plus facile de parler avec distance et donc froideur. En tout cas vous n'avez rien plombé du tout, rassurez-vous !

En ce qui concerne la religion je n'ai pas d'éducation à proprement parlé, en tout cas ce que je pense c'est que je préfère en entendre parler par des personnes éclairées comme vous Mesdames (petit compliment, il parait que je suis un gentleman contre-nature ).

VRAI ! Ce débat n'est que théorie mais touche cependant à des convictions personnelles. C'est pourquoi je propose de le clore sur les rappels iréniques de Titi.
Il me semble NHK que vous suggériez d'autres sujets guillerets tels les maisons de retraite et la vieillesse. Alors c'est parti, on s'y colle